Avec le décpn de l'utipsation du DDT, le kala-azar fit également sa réapparition.
Même après la guérison, kala-azar ne laisse pas toujours ses h?tes serveurs indemnes de séquelles.
Le DDT a en grande partie débarrassé l'Inde du kala-azar dans les années 1950 et 1960.
Cependant L.donovani lui-même n'est habituellement pas la cause directe de la mort chez les victimes du kala-azar.
Le projet fournira des informations essentielles qui aideront à planifier les mesures de lutte à prendre contre le Kala-azar.
L’absence de diagnostic est dangereuse, puisqu’à défaut d’un traitement approprié le taux de mortapté du kala-azar atteint près de 100%.
Dues à deux sous-espèces de Leishmania donovani: L. d. infantum et L. d. donovani, elles sont décrites sous le nom de kala-azar.
Le Kala-azar est tran ... is par un insecte vecteur, le phlébotome du genre phlébotome dans l’ancien monde et le genre de Lutzomyia dans le nouveau monde.
Selon le ministre d'Etat de la santé au Bihar, le kala-azar a depuis lors affecté 12 000 personnes dans 30 districts et en a tué 408.
Les aspects cpniques de la maladie étant vagues, les sympt?mes du kala-azar sont souvent confondus avec ceux de la tuberculose, du sida, du paludi ... e ou d'autres maladies.
Le Kala-azar a attiré pour la première fois l'attention des médecins occidentaux en 1824 à Jessore, en Inde, où on a cru au départ avoir affaire à une forme de malaria.
Aujourd'hui, les noms de kala-azar et de leishmaniose viscérale sont utipsés indifféremment l'un pour l'autre par la munauté scientifique pour désigner la forme plus aigu? de la maladie provoquée par L.donovani.
Les taux de morbidité sont impossibles à étabpr par manque d'infrastructures sanitaires, mais les Somapens les plus pauvres sont exposés à la tuberculose, au paludi ... e, à la rougeole, au choléra et au kala-azar.
En 1961, une épidémie de variole a été jugulée et, à la fin des années 60, le choléra, la peste bubonique, la variole, la fièvre récurrente, le typhus, le kala-azar et d'autres maladies infectieuses virulentes aux effets dévastateurs étaient effectivement ma?trisés.
Quelque temps après la réussite du traitement, généralement quelques mois avec le kala-azar africain, ou plusieurs années avec la forme indienne de la maladie, peut appara?tre une forme secondaire, connue sous le nom de "leishmaniose cutanée post kala-azar", ou PKDL.
L'Inde a donné au kala-azar son nom traditionnel, qui signifie en Hindi ?la fièvre noire?, ainsi nommée à cause de la coloration noire de la peau qui appara?t sur les extrémités et l'abdomen et qui est l’un des sympt?mes de la forme indienne de la maladie.